jeudi 17 juillet 2008

Alessandro Dante




Nom :

Dante

Prénom :

Alessandro

Age :

678 ans

Ce qu’il est :

Vampire

Caractère :

Alessandro est un jeune homme battant, rien ne semble l’anéantir. Il croit à ses convictions, est obstiné comme pas deux ! En amitié il est très fidèle et sera du genre à vous suivre quoiqu’il arrive. Très bavard et franc ce « jeune » vampire est doté d’un sens de l’humour hors du commun. Il aime faire des farces à qui veut et sait toujours remonter le moral de ses troupes (aussi connu sous le nom de ses amis). C’est un jeune homme très déterminé qui sait absolument ce qu’il veut. Très émotif il a tendance à pleurer pour un oui ou pour un non et écoutes toujours le chemin que son cœur lui dit de prendre. Au niveau des défauts, Alessandro est quelqu’un de très étourdie qui bien sur ne note rien dans son agenda ! Donc les rendez-vous, mieux vaut les lui confirmer minimum une heure à l’avance, sinon il oublie. C’est un jeune homme qui ne s’excuse jamais de ses erreur, de très mauvaise foi il cherchera toujours un argument qui vous fera taire sur place… seul hic, il cherche et ne trouve jamais ! Du coup il vous sort des arguments complètement débiles et ne supporte pas qu’on lui face remarquer qu’il à tort. Il est tellement sur de lui qu’on a parfois l’impression qu’il est doté d’un égaux surdimensionné, ce qui n’est pas le cas, au contraire c’est une personne très modeste. Grand séducteur il tombe amoureux très facilement, c’est pour cela qu’il n’a jamais été fidèle à une seule femme ni à un seul homme. Il les aime toutes, pour lui les humaines sont plus pratiques car elles sont loin d’être éternelles, mais cela ne veut pas dire qu’il n’est pas non plus séduit par les vampires ou autre créatures magiques. Fêtard invétéré il passe sa vie à sortir c’est un garçon parfaitement non raisonnable… alcool, cigarettes et parfois même certaines drogues hallucinogènes (cannabis et shit) font partie intégrante de sa vie…

Description physique :

Alessandro est de grande taille, il mesure 1m85, d’allure athlétique, le vampire aime faire du sport quand l’occasion se présente. Châtain avec des yeux verts il plait beaucoup aux demoiselles et aux jeunes hommes, surtout quand il sourit. Au niveau du style vestimentaire, il s’habille toujours très chic, pour lui être habillé correctement est une forme de respect vis-à-vis de lui-même et des autres. Il a une préférence pour le look bobo ou costard-cravate.

Histoire :

Alessandro né le 15 janvier 1349 d’un père italien et d’une mère espagnole, oui messieurs dames, c’est bien un aristocrate. Son père Mercutio est un habitué de la Cour italienne, sa mère quand à elle fait parti des favorite de la reine d’Espagne, que du beau monde ! Il est donc très vite baigné dans le luxe. Ayant un frère ainé, soldat, un autre moine, Alessandro est élevé selon les us et coutumes de l’époque. Religieusement, et belliscément. Son enfance il la passera en Italie auprès de son père pour que celui-ci lui apprenne à se comporter comme un homme. Alessandro se cultive, assiste aux banquets les plus prestigieux et gagne bientôt l’estime et le respect de tous. Quand quelque chose est organisé à la Cour, le jeune homme, alors âgé de 17 ans doit être de la partie pour son plus grand bonheur. Lorsqu’on parle de lui les yeux des femmes se mettent à briller, les hommes sourient, oui Alessandro ce n’est que du bonheur pour tout le monde…Jusqu'à ce jour de 1369…

Il a 20 ans, se porte fièrement, se dandine comme à son habitude sur son fidèle destrier. Nous sommes à la chasse en pleine forêt, l’air est humide et chaud, mais cela ne le perturbe en aucun cas, il est en compagnie de son ami anglais Lord Lorrington, venu alors tout droit d’Angleterre pour passer trois mois dans le domaine italien légué par un oncle très lointain. Oh, grande joie pour les deux amis de se retrouver. Ces deux là s’étaient rencontrés à la Cour d’Espagne, ayant le même âge, le même goût pour les femmes, la chasse, le même humour il n’en fallu pas plus pour que leur amitié devienne très forte en peu de temps. Bientôt l’un ne put se passer de l’autre, et régulièrement ils s’écrivaient faisant là part de leurs impressions du monde. Tous deux avaient de grandes ambitions, dont celle de faire le tour du monde à la recherche d’autres cultures… mais il fallait du temps pour le faire, et ils en manquaient crucialement et Alessandro n’avait pas trouvé de solutions… alors que le Lord si….

1] Au nom de l’amitié…

Les chiens se mirent à aboyer, ils avaient repérés un animal, Alessandro se tourna alors vers Nicolas en un regard ils se comprirent et voila que leurs deux chevaux dans une osmose parfaite se mirent à galoper dans les bois. La légèreté de leurs pas donnait à Alessandro l’impression de voler, voila pourquoi il l’avait appelé Hermès, le messager le plus rapide de l’antiquité, Hermès, son plus fidèle compagnon après Nicolas, il comprenait son cavalier comme si parfois leurs esprit ne formaient qu’un. Une unité, on dit que le chien est le meilleur ami de l’homme, mais que dirait-on du cheval si tous étaient comme lui ? Filant à une vitesse mirobolante, il arriva le premier, dégaina son fusil certes très lourd, mais chargé :

« - Nicolas, thou (ancienne forme du « you » ) should come now ! Oh Lord! How young it is, it’ll be a great dinner…”

Nicolas ne vint pas aussi rapidement que d’habitude, Alessandro se retourna et ce qu’il vit le figea sur place “Deus ! » s’exclama-t-il en latin. Nicolas fonça droit sur lui et avant qu’il n’eut eu le temps de se débattre, celui-ci l’empoigna lui mordant la nuque… et tout se mit à tourner. Quelques heures plus tard il se réveilla au même endroit que là où il était tombé, son corps lui faisait mal de partout, des sortes de courbatures plus fortes qu’habituellement, incapable de marcher il appela son ami, hurlant en vain. Celui-ci ne vint pas. Les heures passaient combien de temps ? 10 ? 12 ? Non plus ou moins il ne savait pas, il n’avait pas remarqué que la nuit était tombée tant il se concentrait sur sa douleur. Puis petit à petit, cela se résorba, il se leva, remarquant alors Hermès attaché à une longe, bien scellé, il le détacha, le monta avant de retourner dans son domaine. On vint lui ouvrir la porte et une servante l’informa que Nicolas l’attendait dans la salle à manger, il laissa Hermès au soin d’un palefrenier et monta quatre à quatre les marches, furieux. Ouvrant la porte tel Alexandre aux portes d’Alexandrie, il lui jeta un regard des plus haineux :

-Je vous avait prit pour un ami ! Qu’êtes vous au juste créature du Diable ?

- Allons, allons, je suis toujours votre ami, j’ai juste pensé que la vie éternelle vous plairez vous qui avez autant soif de connaissance, vous qui aimez l’histoire, à présent, vous allez la vivre , quel plus beau cadeau aurais-je pu vous faire ? Lui répondit-il en souriant et avec cette arrogance particulièrement agaçante.

- Quelques explications s’imposent ! Et sur le champ si vous ne voulez que je fasse venir un homme d’Eglise.

-Of course Sir, mais ne vous fâchez pas si vite et venez donc vous asseoir, le repas nous seras bientôt servi. Je m’appelle bien Lors Nicolas Lorrington, et j’ai bien 20 ans, enfin presque 21. J’ai été mordu il y a de cela près de deux ans, mais si je ne vous en ai pas parlé c’est que c’est une chose que je n’ai pas acceptée au début, et puis au fur et à mesure du temps j’y ai trouvé plus d’avantage que d’inconvénients. La vie éternelle, la jeunesse éternelle et le devoir de servir une force bien au dessus de nous. N’est-ce pas tout devoir de tout gentleman ? Ah et au passage, à la base les vampires ne sont pas des créatures du Diable, mais des hommes reniés par Dieu savez vous ? Certes beaucoup d’entre nous servent le Malin et j’en fait parti d’ailleurs je vous l’avoue, mais parce que ça offre une protection non moindre par rapport aux forces du Bien…

- Je ne veux en entendre plus ! Allez vous coucher Nicolas, il se fait tard ! Lui ordonna Alessandro assez séduit par son argument de choc sur lui, mais encore sous le choc.

-Tiens donc ? Vous ne me reniez donc pas ? Qu’avez-vous Alessandro ? Seriez-vous séduit ? Rappelez vous… nous devons découvrir le monde ensemble et pourquoi irais-je me coucher ?Laissez moi vous dire autre chose. Premièrement, les vampires ne vivent pas que la nuit, ce n’est que balivernes inventée par les « humains » si je puis dire ainsi. Mais c’est une chose que nous tournons à notre avantage puisque le jour leur vigilence est moindre. Être vampire, mieux vaut ne pas s’en vanter, vous le savez si vous ne voulez pas qu’on vous fuit comme la peste. Deuxièmement, nous ne lisons pas dans les pensées. Je vous souhaite une agréable nuit, mais réfléchissez bien. Troisièmement pour devenir vampire, il faut

Puis il se leva laissant Alessandro seul avec son esprit. Toute la nuit il réfléchit posant le pour et le contre, découvrir le monde et se cultiver à volonté, c’était le rêve, leur rêve à tous les deux. Mais en même temps on lui avait enseigné des valeurs auxquels il croyait dur comme fer… Il fallait qu’il réfléchisse, tuer ? c’était monnaie courante à cette époque, pour le moment il avait eu la chance de ne jamais avoir été appelé à la guerre, et sans doute n’avait-il aucune chance de s’y rendre n’ayant jamais été formé pour, mais on ne savait jamais. Et puis pourquoi tuer un être humain maintenant ? Un animal n’était-ce pas suffisant ? De toute façon à cause de son ami il savait qu’il n’avait plus d’âme mais il avait encore son sens civique. Oui il voulait découvrir ce qu’était réellement ce qui l’entourait .C’est à ce moment précis que le jeune homme s’endormit sur la table, un verre de vin en face de lui, ça faisait bien, que penseraient les domestiques en le voyant ainsi le lendemain matin ?

Suzette le réveilla en entrant pour débarrasser et elle fut suivit de peu par Nicolas, qui le connaissant sans doute un peu plus que les autres lui apporta un hiboux trouvé sur une poutre de sa chambre. Il vida le sang de l’animal, tout son sang devenant ainsi… un vrai vampire et en silence s’il vous plait. Il sentit alors la main de son ami posée sur son épaule « Je vous comprends. » lui dit-il alors.

2] Nicolas.

Voila maintenant près de 100 ans que nos deux amis parcouraient le monde, changeant ci et là d’identité pour ne pas être repérés. « Tous pour un et un pour tous » était la devise des trois mousquetaires, jamais l’un sans l’autre laissant tout derrière eux ne prenant que ce dont ils avaient besoin pour vivre dans le luxe et la volupté. Nicolas et Alessandro ne pouvaient se passer l’un de l’autre, à croire qu’ils étaient destinés pour passer leur vie ensemble. De l’amour dites vous ? Oui, mais un amour platonique aussi connu par le nom d’amitié intense. Quand l’un avait besoin d’aide, l’autre l’aidait à se relever pour en ressortir plus fort. L’un sans l’autre n’était rien… « parce que c’était lui et que c’était moi », dit alors Montaigne un jour à propos de son meilleur ami. Il en était de même pour Alessandro et Nicolas et tous deux croyaient que cela durerait éternellement… le destin pourtant semblait vouloir autre chose.

La rumeur c’était répandue au fur et à mesure de leurs voyages : ces deux là étaient des vampires. Insaisissables, comme le vent à chaque fois qu’elles les rattrapaient ils partaient alors vers d’autres lieux. Mais les chasseurs eux étaient aux aguets. Un soir de promenade sur le bord du lac de Genève, ils furent prit en embuscade par ce qu’ils croyaient être des voleurs. « Nous vous donnons tout ce que nous avons ! Mais s’il vous plait ! Laissez nous en vie » fit alors Nicolas. Cependant il semblait en être autrement, tous deux virent la lueur de haine dans leurs yeux, et c’est là qu’ils comprirent. C’en était fini pour Nicolas et Alessandro… que resterait-il ? Comment agir ? Leur premier réflexe fut de se défendre à la vampire, à savoir sauter sur deux d’entre eux et de les tuer… seulement durant cet acte barbare un troisième arriva et découpa la tête de Nicolas.

C’en était fini pour eux… ne resterait qu’Alessandro qui par pure vengeance après avoir tué « le sien » se rua sur celui qui venait de tuer son ami, le ruant de coup, l’attachant avec une corde trouvé sur le cadavre d’un des autres chasseurs à un arbre et… le tuant. Tant pis, la vie de son ami valait bien plus que celle des autres à ses yeux.

Jamais le bel italien ne se remettrai de cette blessure, il manque toujours quelque chose à sa vie, une chose inoubliable, un être parfait, un être qu’il aimait d’un amour intense et c’est ce qui fait de lui un chasseur de chasseur redoutable. Il voit en chacun d’entre eux le meurtrier de son ami et de ce fait n’a aucune pitié ni humanité dès lors qu’il s’agit de défendre les siens !

3] Tomblaine.

A quoi bon continuer ce voyage alors que son âme sœur venait de mourir ? pourquoi ne pas se suicider ? Parce que le goût de la vengeance est plus attrayant… parce que le fait de tuer toujours et encore le rendait plus heureux que jamais. Et surtout parce que Nicolas ne l’aurait jamais voulu. Alessandro se rendit alors à Tomblaine un repère de vampires. Au début il ne savait pas du tout ce qu’il allait y faire pensant certainement à une simple retraite pour faire son deuil quelque chose de très solitaire. Il ignorait alors les plans du diable et de tous les autres. Il ignorait tout des autres vampires n’en connaissant qu’un qui lui avait apprit tout ce qu’il savait. Il ignorait beaucoup de la lutte entre le Bien et le Mal, mais savait que les chasseurs étaient du côté du Bien. Et puis… peut être que dans sa solitude il avait besoin d’être entouré des siens ? Lesquels ? Ils étaient tous morts. Non, juste de se sentir au milieu d’une foule.

Il y prit son appartement jurant alors allégeance au Diable et à Dracula. Ces deux là se rendirent certainement compte qu’il était un « soldat » presque parfait, de ce fait on se mit très vite à lui confier des missions en tant que messager par exemple. On lui apprit aussi à mieux se servir de ses armes et à développer ses réflexes. Il était mieux à Tomblaine qu’ailleurs parce qu’on le prenait au sérieux et qu’il se sentait utile. Utile à qui ? Un matin il reçu une visite surprise au saut du lit. Dracula en personne assis dans un fauteuil et le regardant dormir. C’était gênant, mais il ne put rien dire :

« Alessandro, il faut que je vous parle de mes plans. Il faut que tu saches que d’ici quelques centaines d’années les vampires auront évolué, et toi aussi. Tu fais parti de cette nouvelle race dont tu ignores encore l’existence et les autres aussi d’ailleurs. Vous êtes l’élite, améliorée et les autres races… disparaitront. Saches que trois clans seront créés mais toi… toi je t’en ai choisi un d’office. Tu seras le premier membre du clan Or pur… mais pas le chef. Non, cela est réservé à l’une de mes filles. Elle vient d’arriver à Tomblaine et d’ailleurs si tu la croise ne lui parle pas de ce que je viens de te dire ! Elle a de grands principes et son éducation ne fait que commencer, disons… que nous lui en parlerons une fois qu’elle aura assimilés et acceptés les enjeux. »

On ne refuse rien à Dracula, celui-ci quitta la pièce.

Pendant quelques années on ne lui confia plus rien d’important son rôle était alors de s’amuser de prendre du bon temps et surtout de gagner en puissance. Un soir, alors qu’il observait le Mt St Michel du haut du toit, il entendit des pas, derrière lui se trouvait alors une magnifique jeune vampire sans doute avait-elle 20 ans lorsqu’elle avait été mordu mais il ignorait son âge réel. Il la salua. Quelque chose… se dégageait d’elle quelque chose qui imposait le respect… la fille de Dracula se dit-il alors. Oui, elle commençait à avoir des allures de patronne. Mais dans son regard, il y avait quelque chose d’absent. Il ignorait qu’elle venait de se faire sévèrement punir par Dieu en personne pour avoir séduit un de ses partisans. Entre eux le courant passa rapidement, la jeune vampire trouva en lui l’ami idéal, qui la faisait sourire.

Les années passent et se ressemblent, et plus ça allait plus il devenait un puissant vampire et très réputé. Il finit au bout de trois cent ans par décider d’aller voir ailleurs qu’a Tomblaine, parce qu’il avait finit par s’y ennuyer. Alessandro s’établit alors à Budapest, en Hongrie. Cette ville est parfaite pour lui, des loisirs à volontés des amants et amantes à gogo. On l’a oublié, on a oublié avec le temps, on a oublié qu’il était un vampire et c’est tant mieux ! Il recommence alors une vie trépidante faite d’excès en tout genre créant alors de plus en plus de gens comme lui. Et puis comme toujours au bout de quelques années il doit fuir, car sa jeunesse éternelle risque de surprendre… et de réveiller les soupçons. Il part alors pour Paris et y rencontre les plus grands écrivains français. Au début du 19ème il est rappelé à Tomblaine par Dracula, celui-ci lui annonce que les choses approchent et que d’ici 100 ans tout sera alors mit en place.

Il emménage à Londres (ou autre ville selon le forum..) en 1999 et décide de se trouver un métier. Ce sera le stylisme, très vite il monte et grimpe et commence à se faire un nom. Maintenant, eh bien c’est très difficile de passer devant un kiosque à journaux sans qu’il ne soit quelque part à la une d’un magazine. Karl Lagarfeld, Jean Paul Gaultier et tous les autres le respectent. Lui ? Que fait-il de son temps libre ? Il organise des fêtes somptueuses et très VIP dans son immense loft et ailleurs. Une vie de dévergondé pour un vieil homme à l’apparence si juvénile qui souhaite tirer un trait sur son passé. Il se demande comment il pourra alors gérer sa vie humaine et sa vie de vampire sans jamais que celle-ci soit révélée. Pour lui les médias et les paparazzis sont devenus un vrai poison…

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Jude Law



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