jeudi 17 juillet 2008

Aurore McLane

Ce personnage est sous Copyright.
Alors veuillez demander si vous voulez l'emprunter.
Il a demandé beaucoup d'heure de travail,
Et son propriétaire y tiens beaucoup.
Merci donc de laisser un commentaire, avec adresse e-mail,
Si vous y tenez.
Jenn.

Attention, ce personnage est censé détester son père.
Un lourd secret, qu'il n'est pas nommé dans l'histoire pour vous laisser le choix, mais à la base, le père a engager un tueur pour tuer sa femme ...

  • Noms&Prénoms : McLane, Aurore Elizabeth
  • Nationalité&Origines : British
  • Âge : 20 ans
  • Signe Astrologique : Vierge

  • Caractère :
Quand toute la complexité et la simplicité d’un organisme s’entremêlent pour devenir … Aurore.
D’apparence … Aurore est l’innocence, et la naïveté ré incarné. De son allure d’héroïne de contes de fées, la demoiselle aime s’amuser avec son image pour tromper son entourage. Moelleuse à l’extérieur, et dure et croquante à l’intérieur. Une personnalité bien trempée qui de l’extérieur peut ressembler à des plus banale. Or … Ce n’est pas le cas.
La demoiselle est une petite futée, s’aventurant depuis déjà quelques longues années dans le mensonge : ce n’est qu’un jeu pour elle. Tromper les autres, tester leurs capacités de pouvoir percevoir ses mensonges. Surtout sournoise et manipulatrice, il lui arrive d’user la manipulation sans même se rendre compte. Inconsciemment calculatrice et sournoise, ces deux défauts sont bien ancrés dans sa personnalité, presque indécelable. Comment peut-on imaginer une chose pareille d’une demoiselle qui semble si sensible, douce et surtout naïve ?

Elle joue, se servant de son image en la jouant. Très bonne comédienne d’ailleurs. Quand une personne cherche à la connaître, elle reste superficielle sur les bords, jouant le jeu, de la petite sainte ni touche, de la personne gobant le pire bobard. Et cela marche très facilement, car personne ne cherche à comprendre, rentrant facilement en confiance. Un petit sourire fin et innocent presque toujours sur les lèvres, son regard brille aussi souvent de malice. Sa petite langue aussi sort pour faire un petite grimace, ou une moue boudeuse. Obtenir ce qu’elle veut, elle sait très bien comment faire. Et sa, avec une facilité incroyable…
Mais l’intérieur … Celui qui est bien cassant et croquant … Aurore est une personne bien perverse. S’abandonnant à des jeux coquins avec ses multitudes d’amants et amantes. Ceci est un jeu, simple dont aucunes règles n’existent. Très attaché aux fouet et aux menottes, ainsi qu’aux tenues sexy, le petit ange, se transforme bien souvent en petite diablesse. Cruelle et sadique sur les bords
Dotée d’une beauté innocente des plus déstabilisante, elle peut en surprendre plus d’un, quand elle s’abandonne à des jeux …

Cependant. Ceci n’est qu’en première et deuxième couche. La troisième couche d’Aurore est bien plus complexe. Aurore est extrêmement sensible. Mais aussi très fière. Elle n’arrivera jamais à admettre qu’elle à tord, ou bien de pouvoir montrer ses faiblesses à d’autres personnes. Montrer qu’elle souffre, qu’elle est triste est insupportable pour elle. Elle veut des regards qui brillent de jalousie, et d’envie sur elle. Rien d’autre. Elle ne veut pas de regard brillant de pitié ou autre ; envers elle. Pouvoir se confier sincèrement, et dire des choses qui lui viennent du fond du cœur est quasi nulle. Ce n’est que al comédie et un sourire, une amie en façade. Dites lui quelque chose, assez forte pour que cela transperce sa double carapace, elle aura une réaction soit des plus violente, ou des plus calme. Une fois touchée, elle devient bien vite lunatique, et ses excès de colère sont horribles. Omniprésent, et très violent. Ce pour cela, qu’elle prend des médicaments. Pour se stabiliser. Sans, elle s’énerve pour un rien. Quand il lui arrive d’oublier de les prendre, elle est très irritable. Et assez agressive. Elle ne sait pas quel moyen ce médicament fait des siennes, mais en tout cas, elle se rends compte facilement de ces effets relaxant.

  • Histoire :
Petits cliquètement. Mélodie endormeuse, berceuse pour enfants.
Un berceau, des proches autour. Un nouveau né, au crâne parsemé d’une mini chevelure blonde. Une mère souriante, un home heureux. Aurore était née le 45 octobre, à 11h45.
Les parents de la petite merveille contemplaient leur enfant. Isabella avait des problèmes de fertilité ; cela serait bien son premier et dernier enfant. Alors autant qu’il soit gâté. Le bébé ressemblait déjà beaucoup à sa mère. Un bien joli nourrisson.
Non. Cet enfant ne passa pas une enfance normale, entre guillemets. Cette famille était riche. Ne connaissez vous pas la boîte de mannequin « Tash Clichés » ? Non ? Mais alors vous ne lisez pas suffisamment les magazines et en particulier ceux de mode, et haute couture. Cette boîte est emplie de mannequins. Masculin & Féminin. S’éloignant quelque peu de l’anorexie des plus totale. Pour porter les tenues données, il faut des formes. Une grande taille, pas maigre, ni grosse. Et cette entreprise de tops models, était menée par Isabella Beccalina, ancienne modèle, elle-même. Cependant son mari : James McLane, était quand à lui propriétaire d’une île, rien que sa ! Et était vice—président d’une ligne d’hôtels assez prestigieux en Amérique. Cependant son rêve, et son projet, était d’ouvrir son propre hôtel de luxe, et qu’il implanterai sur son île, et sûrement aussi un peu partout dans le monde. Il le nommerait « Gold Paradise Hôtel »
Pour en revenir à la petite Aurore, elle fut gâtée, et une petite peste d’allure angélique. Cependant, plus elle grandissait, plus elle était belle, endossant un visage et une allure de petite sainte. L’enfant parfaite, que tous parents rêveraient avoir. Elle était d’une pureté inégalée. Et d’une grande délicatesse. Déjà à dix ans, elle connaissait les mille et une manières de se tenir à table, ou en présence de personnes haut de gamme. Assez futée, et pertinente aussi. Elle savait aussi faire la lèche-botte, et obtenait facilement ce qu’elle désirait.
A 14 ans, elle fessait physiquement bien plus, environ seize ans, voir plus. Sa mère tenait absolument à ce qu’elle pose pour elle, exceptionnellement, car l’envie la prenait. Un photographe inconnu par le monde, mais assez doué fera l’affaire. Des photos essentiellement avec des tenues que peu de personne ne pouvait s’offrir. Un essaie. Puis deux… Puis sa mère tomba amoureuse des photos de sa fille, et voulut l’engager. Dès qu’elle aurait un contrat avec les fringues qu’il faudrait, elle l’appellerait, comme disait sa mère. Celle-ci ne voulait pas lui faire porter n’importe quoi. Certainement pas.
La petite Princesse partageait avec sa mère de bien nombreux moment de complicité. Il s’avéra que la Miss était d’un précieux aide auprès de sa mère dans son travail. Au niveau, habillage, maquillage, et des poses à prendre. Des conseils, tout simplement. Aurore était apprécié par tous. Certainement qu’en façade. Elle pouvait facilement s’attirer la pire des jalousies.
C’était un petit rayon de soleil, qui était très souvent de bonne humeur. Une et joie et une humeur, très souvent très contagieuse. Un don inné pour rendre les choses toujours si simples : cela devait être dans le sang. Ou l’éducation.
Âgée de 16 ans : C’était une demoiselle calculatrice, et très perfectionniste. Limite manipulatrice, sans même s’en rendre compte la plupart du temps. Elle n’était pas mannequin à part entière, mais presque. Quelques unes de ses photos passèrent sur Vogue. Un très grand magazine de mode. Et pour avoir des photos d’ssus, il fallait qu’elles soient belles. Limite Féerique.
Je ne trouve pas l’utilité de vous dire qu’Aurore et Isabella étaient comme de véritables amies. Endossant parfois la carte de la mère sévère. Autant pour l’une que pour l‘autre.
 Le jour de son anniversaire de ses dix-sept ans, elle était dans le bureau de sa mère ; rangeant des photos. Elle attendait tout simplement ses parents. Ils avaient tous les trois prévus, d’aller au restaurant. Sa mère ne devait pas tarder, et son père arriverait certainement directement au restaurant en question. Aurore était comme une puce : elle bougeait, tenir en place était inconcevable, surtout ce soir là. Déjà qu’en temps normal elle était comme une pile électrique inépuisable, alors là ! C’était vraiment… Quelque chose ! Elle rangeait alors. Aurore était une perfectionniste. Tout devait être à sa place ; au mieux. Pas maniaque. Regardé sa chambre : un chaos total. Elle ne supporte pas quand par exemple, les tables ne sont pas parallèles entre elles, où aux traits du sol s’il y en a. Cela la stresse. Par contre, dans sa chambre, les images postées contre les murs étaient bien de travers. Sûrement car les murs sont blancs ? Et sans traits ? Peut-être, oui.
« Aurore …
Celle-ci, avait un sourire sur les lèvres, et se redressa et …
- Mam …
Ce n’était pas sa mère, mais son assistante secrétaire, qui paraissait assez inquiète.
« Aurore … Ton père arrive.
- Mon père ? Mais où est Isabella ?
- Je ne sais pas. Elle à 20 minutes de retard.
- Ce n’est pas dans ces habitudes.
- Je sais. Ta mère est strictement ponctuelle. Ton père paraissait inquiet, et il adit qu’il arrivait te chercher.
- Pourquoi ? Sa veut dire quoi ?
- Ne t’inquiète pas. Madame McLane doit certainement être au restaurant à vous attendre. Elle à dû téléphoner à Monsieur pour qu’il vienne te chercher.
- Tu as sûrement raison …»

Non. Elle a tord. Ta mère meurs. Elle agonise. Seule. Morte. Tu entends ?


Aurore s’assit sur une chaise, plus inquiète qu’exciter à présent. Ses doigts tambourinement sur l’accoudoir en cuir de sa chaise. Le soir de son anniversaire. Le jour de sa naissance. Sa mère ne pouvait pas mourir. Ou disparaître. Mais pourquoi donc imagine-t-elle les pires scénarios ? Non, sa mère est au restaurant et pas ailleurs. Oui au restaurant. Cette assistante avait juste imaginé … ce ton inquiet… Inquiet. Mais bon sang ! Qu’est qu’il y a ? Dis moi, je veux savoir. Papa dépêche toi.
Aurore entendit la porte de l’ascenseur s’ouvrir, elle se redressa et s’avança dans le couloir. Son père avait les yeux rouges. Il avait pleuré, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. Non. Il n’avait pas pleuré. C’était … La pollution, oui, voilà.[/i]

« Aurore … Je suis désolé…
Non arrêtes. Ne me dis pas sa non.
- Qu’ …Qu’est qui-qu’il y a ?
Les yeux de son père brillaient. Tu pleures ? Mais pourquoi ? Non c’est l’éclat des lumières dans tes yeux, voilà, oui c’est sa.
– Ta mère … Est morte.
Non, impossible. Ne dis pas de sottise. C’est pas vrai. Maman est un héros. Mon héro indestructible. C’est un ange venu du ciel, Elle n’a pas pu mourir.
- Non …, murmura-t-elle »

Son père ne répondit pas. Des larmes coulaient sur ses joues. Il l’a pris dans ses bras. Aurore ne réagit même pas. Elle avait la bouche entre ouverte, les yeux dans le vague.[/i]
Déchirement. Cœur meurtris et brisé. Sensation de vide. Non c’est impossible. Peur. Vide. Violence. Détachement corporel. Je suis en toi. Une noirceur d’âme qui va te bouffer de l’intérieur. La peur est un signe d’humanité. Le courage, l’amour. En seras-tu encore coupable, ou pas ? Un humain, petit papillon qui veut se poser sur une rose ; ces épines piquent. Atterrissage en trombe sur l’épique. Adieu. Beaucoup de ce genre d’atterrissage. Comment ? Maman ? Morte ? Non ce n’est pas vrai. Elle ne peut pas. Mais comment, alors ? Qui ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Hein ? Pourquoi ? Dis-moi … Je me sens mal. Vide.
Une perte considérable. La continuation de ses crises d’angoisse, le début de ses crises de folie, et de violence. Un deuil. Non. Elle n’est pas partie, elle est là. Mais je ne la voie pas. Accident ou meurtre ?! Une mort naturelle … Non, peu probable. Elle était jeune, et belle, sans problèmes de santé, elle qui ne fumait et ne buvait pas.
Depuis, la Miss fut plus proche de son père. Abandonnant son travail. L’entreprise de sa mère fut vendue. Et le projet de son père pris une nouvelle ampleur. La première année, de cette perte, Aurore était complètement anéantit. Puis se jura qu’elle se vengerai, car les explications de cette mort lui semblait … étranges.
Son père réussit à ouvrir son hôtel. Encore plus luxueux. C’était plus de l’hôtel, mais un centre de remise en forme à croire !
Et puis … Maintenant… C’est à nous d’écrire la suite …


  • Style Vestimentaire :
Hey .... Pourquoi tu me regardes ? Arrêtes … Tu vas m’abîmer *o* Je suis si belle … La demoiselle atteint les un mètres soixante-dix, et sa, sans talons attention ! Une silhouette gracieuse et svelte. Ses longs cheveux blonds encadrent son visage de la même façon qu’un rideau … Ses yeux, de pur joyaux, brille souvent de malice, ou alors de lueurs des plus menaçante. Son allure de princesse, avec un visage aux traits fins et délicats, lui assure une certaine prestance. Sensuelle de nature, chacun de ses gestes sont comme une caresse. Sa peau … Est aussi douce et pâle qu’une plume blanche. La couleur de ses yeux brille comme les reflets du diamant, si vaste et si sombre comme les ténèbres, si brumeux que le brouillard … Si agité que les mouvements de la mer. Un regard magnifique, un regard que pouvoir s’y perdre est un réel plaisir. Un réel contraste avec sa peau si pâle. Son air si fragile, une poupée de porcelaine entre vos mains, surtout ne pas la bousculer, vous pourrez la briser. Autant que son air, son cœur et fragile. Son visage, semble tout droit sortir d’un tableau de la renaissance tant elle semble paisible et angélique. Son front, est un peu plus grand que la moyenne, mais caché par une frange, qui lui donne un certain air d’ado perdue. Ses cheveux, son court, et bruns, souples et fins. Ses yeux, sont de couleurs grise, avec de longs cils, épais, qui et vous regarde toujours profondément, comme si elle cherchait à savoir qui vous êtes, ce qui peut, quand elle le veut évidemment, paraître pesant. Sa bouche, est de couleur rose pâle, et très fines, mais glamours. Son nez est petit, pointu et mignon. Son cou, est de taille moyenne, eh non, elle ne peut pas jouer les femmes girafes. Elle a de magnifiques mains de pianistes, qui lui sont souvent bien utiles. Elle a deux fines oreilles, la droite, percée par trois fois, et la gauche par deux, des petits diamants blancs. Sa poitrine est gracieuse, appréciable. Pas trop petite, ni trop grosse, parfaite pour son allure. Ses fesses sont rebondis XD Qui invite toute éventuelle tapette Une parfaite allure de Princesse ou alors d’une dépravée, car des envies provocatrices la prennent. Ses jolies mains, aux ongles longs, sont la plupart du temps vernis. Fessant toujours un petit cri quand elle se casse un ongle, ne supportant pas du tout sa. Dotée d’une beauté innocente des plus déstabilisante, La Nature n’a pas résigné sur les moyens. Aux premiers abords la demoiselle, parait comme une petite gamine, sainte ni touche, la pureté, et naïveté même. Rien qu’en regardant son visage. Son style vestimentaire peut être des plus classe, passant parfois à une tenue branchée, au top de la mode, ou alors, sexy, …

  • Autres : Est Bisexuelle, prends des médicaments pour que ces crises de violences soient inexistantes.

  • Avis sur le meurtre ? Complètement outrée, que l’on puisse vouloir salir la réputation de cet hôtel d’une quelconque manière. Elle trouve cet acte, complètement … Horrible.
Créatrice : Jenn
Distribution : Sous demande.

Vous pouvez me contacter sur E.mo.PunK@hotmail.fr
Mais pas par mail, je ne les relève pas (" )

Aucun commentaire: