jeudi 17 juillet 2008

Kai Kyudo

Ce personnage est sous Copyright.
Alors veuillez demander si vous voulez l'emprunter.
Il a demandé beaucoup d'heure de travail,
Et son propriétaire y tiens beaucoup.
Merci donc de laisser un commentaire, avec adresse e-mail,
Si vous y tenez.
Jenn.


Dans le Jeu :
Noms&Prénoms : Kyudo Kai
Nationalité&Origines : Américaine & Japonaise
Âge : 22 ans
Signe Astrologique : Capricorne , né le 31 décembre à 23h59 =D

Caractère :
Mystère. C’est ce qui entoure le jeune homme depuis toujours. Personne ne sait vraiment qui il est, et ce dont il est capable. Il parle peu, mais quand il ouvre la bouche c’est toujours pour dire quelque chose d’important. Son mutisme peut parfois être interprété comme une marque d’ignorance, et celui qui pensera ça aura tout à fait raison.
Kai n’a absolument rien à faire des autres. Il se sent au-dessus d’eux, peut-être même au-dessus de tout. Les autres ne sont que des sous-merdes. On ne peut pas vraiment dire que la présence des autres le dérange, puisqu’il n’y prête en réalité aucun intérêt. Il prend plutôt les gens comme des proies que pour des humains. Oui, des proies auxquelles il peut faire ce qu’il veut.
Kai n’aime rien. Où plutôt, il ne sait pas ce qu’il aime. Il aime la solitude mais ne passe jamais inaperçu dans la foule. Les cours lui ont toujours paru dénués d’intérêt, mais il attache cependant beaucoup d’importance à l’apprentissage des autres. Il ne leur parle pas, non, ou du moins pas tant qu’il ne les connaît pas. Il les observe, longuement, caché derrière son visage impassible et son regard mystérieux. Il souffre. Mais il a tellement souffert qu’il ne s’en rend même pas compte. Il aime souffrir. Ca lui apporte un certain réconfort. Intérieurement, et extérieurement. Il n’a peur de rien et de personne. Ou presque.
La plupart des gens n’osent pas l’approcher de peur de ce qui pourrait arriver si leur regard croisait celui du jeune homme. Regard meurtrier, mais mortellement séduisant et déstabilisant. Car oui, Kai plait et il le sait très bien. Il utilise souvent ce charme mystérieux pour séduire ses victimes.

Kai reste tout de même un personnage caustique. Neutre, voir froide, ou très froide. Lui, ce n’est pas le gars, qui dès en une journée, vous vous serez tapé un trip. Non, lui ce n’est pas de la rigolade. Même. Sans le connaître, vous ne le verrez JAMAIS vous sourire ! A moins que vous soyez une ravissante très charmante jeune femme, et que ses hormones le pousse à vous faire du charme !
Son visage est … de roche. De pierre. Cette expression semblerait être tout à fait qualifié pour le jeune nippon. Sur son visage, en temps normal, il sera neutre, de marbre. Un regard perçant, mais qui ne possède pas de réels sentiments. Bien que ces yeux soit magnifiques, ils le seraient encore plus, si ils pourraient briller de malice, ou tout simplement pétiller. L’iris de ses yeux est gris clair ; le cercle qui l’entoure est bien noir, ce qui délimite la chose particulièrement. Une lueur étrange, trône toujours dans ses yeux. Parfois, on peut croire que c’est de la moquerie. Un fait de supériorité. Ou alors de la mélancolie. De la tristesse ? On ne sait vraiment. Bien qu’elle soit toujours présente.

C’est une personne qui ne fait pas vraiment preuve de patience. Il peut s’avérer très persuasif. Et très autoritaire. Sa devise : « La première impression est toujours la meilleure ».
Très peu bavard, discret, le jeune homme dégage une marque d’assurance. Il dégage un charme particulier.
Vous voulez discuter avec Kai ? Alors prenez votre mal en patience ... Parce Kai ne parle presque jamais. Certains l’ont pris pour un muet, jusqu’au jour où ils l’ont entendu insulter quelqu’un qui l’avait involontairement bousculé. D’autres font passer cela pour une légende et certifient qu’il est bien muet, ce qui n’est pas vrai. En réalité, il n’aime pas gaspiller sa salive, et ce sont ses yeux, son attitude, ses gestes qui parlent pour lui. Toujours très sûr de lui et assez mystérieux, les filles voient en lui un grand et beau ténébreux, mais manque de pot pour elles, Kai est ... misogyne xD. Il trouve simplement que toutes les filles « ne cessent de glousser, piailler et casser du sucre sur tout ce qui bouge »..

Comment voulez vous parlez tranquillement avec une personne qui d’une seconde à l’autre peu vous sauter à la gorge ? C’est une très bonne question à vrai dire !
Kai est très impulsif. Et en plus de cela, il se laisse allez très vite à la violence. C’est un jeune homme qu’il ne faut pas emmerde, surtout pas, si vous voulez garder votre face intacte.
En plus de cela, pour ravir sa personnalité, il est franc. Voir même trop franc. Il dira cash ce qu’il pense à qui que se soit (la plupart du temps). Vous lui offrez quelque chose ? Monsieur n’est pas content. Déjà, il ne faut pas s’en donner la peine, car, si vous lui offrez quelque chose, il ne va pas le vouloir. Mais si vous ne pensez pas à lui, il va se vexer. Et si en plus, il accepte le cadeau (toujours avec froideur !) si en plus ce qu’il y a dans le paquet cadeau, ne vous attendez pas à de la comédie ! A sa non ! Loin de là, ce n’est pas le genre de ce jeune homme. Il vous dira net ce qu’il pense de votre surprise. Et souvent, sa ne lui plait pas, bien évidemment.
C’est une personne qui possède un caractère bien trempé et très complexe. Déjà qu’en soit même l’humain est complexe, avec Kai, pour atteignait le plafond de la complexité même ! Par exemple, il a une façon bien à lui d’être rancunier. Vous lui faite une chose pas forcément cool. Pendant un jour, il vous vous ferra la « gueule », il travaillera avec vous, niveau professionnel, rien de plus. Si vous étiez ami(e) avec lui, ne vous attendez pas à ce que vos relations soit les même ! Le lendemain, hop, il a tout oublié. Ou du moins, c’est ce qu’il laisse croire. Car, si dans un an, vous lui refaite un autre coup. Il peut vous re-balancer dans votre face ce « geste pas cool » qui vous lui avait fait, dont vous croyiez qu’il vous avez pardonné. Il faut savoir, que le jeune homme, ne pardonne jamais, jamais ! Entièrement, dans la totalité de la chose.

Et puis faut savoir, que le jeune homme aurait pu très bien devenir comédien. Il se donne une image, calme et posée, tranquille, quelqu’un qui ne se prends pas la tête, mais de nature très calculateur et manipulateur, il fait ces choses sans même sans rendre compte, c’est après, quand il à réussi la chose qu’il voulait, qu’il se rends comptes de ses gestes. Les regrettant plus ou moins, voir pas du tout. Cependant Kai est quelqu’un de très lunatique. Calme et souriant, et soudainement très violent. Mais, il en reste la plupart du temps à jouer à la petite poupée souriante, de bonne humeur, naïve, et gentille. Pourquoi ? Car vous feriez confiance au plus vil des manipulateurs ? A un monstre ? Non, bien sûr que non … Alors voilà.


Histoire :
**Mon histoire ? Pourquoi faire ? Cela te servirait à quoi de la connaître ? Et puis… Je n’aime pas parler de moi. Je n’ai rien à vous dire. Et puis j’aime pas écrire des romans ni faire des monologues. Alors laisse moi en paix ! Hein ? Quoi ? Du veeeeeent !**
Ce que je vais vous faire lire … est quelque chose dont Kai n’a jamais voulu nous faire part … Je ne sais pas vraiment pourquoi mais bon … D’où je le tiens ? De Kai lui-même … Oui, très juste, il est atteint de troubles de personnalité multiples. Rien de bien grave dans son cas, mais l’une de ses personnalité, qui se nomme Jenn, nous à tous confier … Alors venez, asseyez-vous, vous allez apprendre le passé, d’un mannequin à carrière prestigieuse, et au succès inégalé pour le moment …
Des cris … Des pleurs … Des sourires heureux. Kai était né. Dans un maison qui appartenait depuis des générations et des générations à la famille Kuday, cette immense bâtisse regroupait à elle-même modernisme et ancienneté. Les Kuday étaient riches. La grand-mère s’accrochait tant bien que mal aux traditions. Ne pas mélanger les « races », les milles et unes manières de se tenir à table, pas de relations sexuelles avant le mariage, et j’en passe !
Aikû, une jeune mère à présent heureuse, de pouvoir serrer son petit bout de chou, qu’elle nommait Kai. Son père, Haninozuka était debout à côté, avec un fin sourire sur les lèvres. Pendent un an, toute la fusion de leur amour alla vers leur fils unique. Cependant … Cet amour ne dura pas longtemps. Non, un an à peine, jusqu’au jour, la demoiselle épanouie fut déchirée en apprenant que son fiancé la trompait … Non pas avec une femme … Ni une chèvre Mais ! Un homme ! Elle tombait de bien bas ! Sous le regard sévère de sa mère. Elle n’avait jamais approuvé ce mariage, car elle trouvait son beau-fils indigne de confiance. Indigne de pouvoir être avec sa précieuse fille, si sage, si belle, si jeune, si tout ! Ils n’étaient plus ensemble, c’était officiel, et un mois après … Aikû apprit qu’il avait était envoyé en prison, pour détournement de fond. La mère avait un regard sévère, et ne fit aucuns commentaires. Mais tout le monde savait ce qu’elle pensait. Une fois de plus elle avait raison ! Mais passons. Le petit enfant grandit sans père, bien que sa mère fréquentait d’autres hommes, en essayant de trouver le perle rare. La grand-mère décéda. Ce fut une grande perte, mais mini-Kai ne l’aimait pas, alors il ne s’en souvient plus trop de sa réaction face à cette perte. Et puis il était bien trop jeune pour comprendre ce que voulait signifier les termes « morte », « partit pour toujours, « rejoindre le ciel ». Bien qu’il se demandait comme sa grand-mère pouvait rejoindre le ciel, alors qu’elle n’avait pas d’ailes. Puis son avion miniature était trop petit pour qu’il la porte jusqu’aux nuages. Alalala ….
Aikû fréquentait un homme sérieusement … La perle rare peut-être. Car plus le jeune garçon grandissait, plus on remarquait peut-être qu’une présence masculine manquait dans son foyer. Il avait 10ans, il était bon à l’école, mais pourtant… Il ne se rappelait pas de son père et il voudrait le connaître un peu. Mais sa mère ne voulait pas lui dire où il était. En prison, il était en prison, et sa, c’est une honte. Elle voulait qu’il ait un père, pour bien grandir. Mais un bon père, pas comme Haninozuka … Qui avait fait du détournement de fond ! Peut-être bien qu’elle l’avait finalement trouvé cet homme. Cette relation durait déjà 1 an. Elle n’en avait pas avertit son fils, qu’elle jugeait bien trop jeune pour lui parler de ce genre de chose, qui selon elle, concernait les adultes. Et Kai était long d’être un adulte. Cet homme, donc, se nommait Usagi. Il ne possédait pas une grande richesse, il fessait partit de la classe moyenne des japonais, et avait un travail honnête, et avait un sourire à tomber par terre ** Quand sa mère décida enfin à le présenter à son fils, qui avait douze ans, ce n’était pas pour dire, tiens je te présente mon copain. Mais mon fiancé. Ils comptaient se fiancer, et ce bientôt. Kai ne donnait pas son avis, après tout il n’avait pas à le donner. Mais il était assez intelligent pour ne pas le faire. Mais sa mère était à lui, rien qu’à lui, alors si cet homme fessait du mal à sa mère … Il n’osait pas imaginer les horreurs qu’il pourrait lui faire endurer. Possessif, ça oui, il l’était. Heureusement, cet homme était bien gentil. Ils ne vivant pas encore tous les trois ensemble, car sa mère ne voulait pas tout précipiter d’un seul coup pour son fils. Mais, Usagi passait de plus en plus de temps chez eux, dans cet énorme château. Il dormait aussi. Passant des semaines, jusqu’à ce qu’il s’installe réellement ici. Il faut dire que cette bâtisse était si énorme qu’elle pourrait accueillir presque toute la famille, cousin, cousine, oncle, tante, …. Puis l’adoption arrive. Oui, apparemment sa mère et son beau-père s’aimaient vraiment. Alors si elle était heureuse, pourquoi Kia devait continuer à rester si méfiant et froid, vers cet homme, qui aimait assez sa mère, pour vouloir l’adopter. Cependant … Il ne l’appelait guère papa. Il le considérait peut-être comme son père, mais il l’appelait monsieur, et maintenant peut-être par son prénom. Mais il évitait soigneusement de commencer une conversation en l’appelant par son prénom, ou Monsieur. Usagi, il trouvait sa trop … Comme il était son ami, or ce n’était pas le cas, et Monsieur, il avait l’impression de s’adresser à son directeur. En parlant de directeur, parlons d’école. Ses notes étaient excellentes. Il passa donc au lycée. Un jour, il revint avec un percing au labret… Sa mère fut choquée. Comment ? Et ce, sans autorisation parentale ? Mais sa, hors de question ! Elle porta plainte contre la mini entreprise qui avait cette « chose » à son fils, et il fut puni bien longtemps, et bien sévèrement. Bien que son ‘père’, lui trouvait cela un peu abusif. Mais … Après tout c’était son fils pas le sien. Quoi que maintenant, oui, il l’avait adopté =D Et ce fut en parlant calmement avec sa femme, que cette immense punition qui s’étalait sur trois mois ( à peine ! xD) qu’elle réussi à ne s’étaler que sur 1 mois et demi. On dit quoi ? Merci Papa … C’est peut-être comme sa, que son père adoptif monta dans son estime. Et il apprit … Un bien malheureuse chose. Son père ; son père biologique venait de sortir de … Prison. Face à une gaffe de sa mère. Son père, en prison ? Non !? Papa … En prison … Il commençait à avoir honte, mais il essaya tout de même d’aller le voir. Il alla un fois. Dans un bar avec lui, comme en filature ; mais du peu qu’il vu, il fut dégoûter à un haut point. Il s’imaginait tout de lui. Mais certainement pas sa. Il l’imaginait parfait. Bon. Il était certes assez beau, il avait du charme, mais peut-être à cause de cet allé en prison, fait qu’il était devenue quelque de … sombre. Il était vulgaire en plus. Non merci. Je préfère Usagi comme père. Cependant, peut-être par cette découverte, ses notes commencèrent à dégringoler… Lui qui voulait faire des études dans le stylisme dû s’abstenir. Il avait obtenue son bac de justesse, et ce, juste après être partit du cocon familial. Dns un excès de colère, sa mère – à propos de ses notes, et de son comportement irresponsable – lui avait suggéré de partir. Car vouloir jouer de la guitare sans faire rien à côté pour sauver ses études étaient inadmissible. Il était partit, pendant la nuit, les bagages près, bien que maigres. Il avait laisser une feuille sur le réfrigérateur : « Maman, Tu as bien fais. Haninozuka est horrible. Sois heureuse avec Usagi. Bisou, je vous aime. » Peut-être que maintenant il el considérait un peu comme son père. Mais il était partit.
Lui, avait déjà des petits boulots, pendent les vacances, et autres. Il commença donc à temps pleins dans un bar, en temps que serveur, avec des horaires souvent nocturnes. Un bon petit salaire, qui lui convenait pour payer le loyer de son minuscule appartement, et pour se nourrir. Maintenant, parfois quand l’envie le prenait il allait dans les bars, et jouait de la gratte, chantait parfois. Tant et si bien, qu’il commença à avoir bonne réputation dans le coin. En plus d’être serveur, parfois on le payait pour qu’il vienne jouer. Car en plus de cela, il était beau, et les demoiselles suivaient. Il avait une belle voix, et rapportait beaucoup d’argent, alors… Autant en profiter. C’était dans cette période là, qu’il se rendit compte qu’il n’était pas hétérosexuel. Son attirance physique n’était pas seulement vers les filles, auprès desquelles il avait un succès fou, mais aussi envers les garçons. Et sa … Peut-être était-il d^à son physique très féminisé, qu’il entretiens d’ailleurs. Il en joue, il sait qu’il est beau, il sait jouer de ses charmes. Tant et si bien, qu’un jour il fut repérer par un agent, à la solde de Matsu Niwa … Comment sa tu ne sais pas qui c’est ? C’est une très grande styliste dans le Visual Kei ! Tu sais, Kai s’habile comme sa…. Quoi ? PARDON ? Vous êtes intéressez par moi, pour portez des … des vêtements créez par Niwa ? Haaan …C’est trop d’honneur. Lui qui voulait devenir styliste, allait porter les vêtements de sa plus grande idole. Il fut pris à l’essaie. Il restait cependant calme face à tout sa. Il se débrouillait bien en faite. Tellement qu’il fut embaucher dans l’entreprise. Même qu’il devint l’un des models préféré de Niwa. Ils s’entendaient bien, et son salaire de serveur ressemblait à de la misère face au salaire qu’il trouvait exorbitant qu’il avait chaque mois, en plus des primes si ses photos se vendent ou pas. Ça lancer dans le monde du mannequinât fut laborieuse mais éblouissante ! Qui ne connaissait pas « Satan » ? Oui … Drôle de nom de scène. Mais cela lui allait à merveille. Ses photos étaient habillées, pourtant son attitude dessus était provocatrice, ou aguicheuse, ou alors encore gamine. Mais dans son regard brillait quelque chose d’autre, de bien plus fort. Quelque chose d’envoûtant. Car oui, les yeux de notre models étaient, sont, et seront toujours aussi magnifique. En soit, il n’y avait pas que le physique qui comptait. Il en fessait beaucoup partie, mais après il y avait al manière de faire, de poser. De mettre en avant les tenues portées. Ce n’est pas vraiment le model qui doit être mis en avant mais les tenues portés. Mais si les tenues sont belles, mises en avant, elles mettent en valeur le porteur. Et sa, c’est magique. De plus, la mère de Takeo ne lui fessait pas porter n’importe. Parlons donc de Takeo. Il venait souvent assister à ses poses, regardant chacun de ses mouvements, ainsi que celui du photographe, qui ma foi, ne disait pas grand-chose avec Kai. Puis ce qui devait arriver, arriva. Il s’était promis qu’il n’y toucherait jamais, car c’était en outre, le fils de sa patronne, mais cela arriva quand même. Je ne sas plus comment Kai se laissa charmer, ou peut-être se charmaient-ils mutuellement, mais cela entraîna une relation assez complexe, bien basé sur le sexe. Une relation physique qui dura un an et demi ; tout en sachant que Kai ne passa que deux ans ici. Peut-être que Takeshi lui manqua, peut-être pas, certainement le plus était son physique d’ange, avec des fringues plus que flashy&trash, mais, le plus serait certainement son regard, et sa manière de lui sourire, juste avant de venir vers lui pour …
Pourquoi était-il partit, alors que tout était bien, il était assez fortuné, bien plus que la classe moyenne de son père adoptif en tout cas. Tout cela arriva, et se passa bien vite. Il fut convoqué dans le bureau de sa patronne, choque qui arrivait souvent. Matsu lui demandait souvent son avis sur les nouvelles tenues et accessoires qu’elle créait. Elle aimait que l’un de ses modèle puisse la complimenter de la sorte ; mais parfois le remarques ou critiques de Kai étaient bien visées, et la jeune femme ne fessait qu’améliorer ses tenues qu’elle vendrait … Mais ce ne fut pas du tout de ce genre de convocation qui se déroula. Non. Elle savait depuis le début. Depuis le début disait-elle, mais qu’elle avait fermés les yeux, car il était son meilleur modèle. Mais que cette relation avec son fils devait cesser. Kai restait de marbre, puis un « Non », ferme et dur sortit de ses lèvres. Je ne sais plus comment leur discussion se poursuivit, mais des éclats de voix, ainsi que celui d’un vase qui allait au sol voltigea, avant que Kai sorte violement de ce bureau. Takeo n’était pas loin, juste peut-être en train d’essayer d’écouter, ou d’attendre sa mère … Ou bien lui. Les seuls mots que Kai réussit à prononcer avant son départ définitif de cette entreprise : « Au revoir… Tu vas me manquer. »
Puis il n’eut aucunes nouvelles de celui-ci. Satan n’eut pas de mal à décrocher de nombreux contrat virevoltant niveau somme. Il gagnait en un mois, ce que vous gagnez en un an. Et sa … Sans grand mal. Il se laisse pousser les cheveux, les laissant retrouvé sa couleur naturelle, c’est à dire brun, et retourna au Japon, pour des photos pour une ligne de costume pour homme. C’était pendant l’été. Il y avait une semaine de calme plat, avant qu’il n’enfile vêtements par vêtements … Un soir il traîna dans un bar. Un beau nippon vint lui tenir compagnie : Soren. Il le draguait toute la soirée, et cela ne fessait qu’amuser le mannequin, qui même face à cette beauté il restait qu’amusé, et ne répondait pas à ses avances. Il essayait de le charmer. Cependant, il voyait bien qu’il était un peu … Pompette comme dit Kai. Puis cette soirée s’acheva, et il ne le revit plus… D moins, c’est ce qu’il pensait, jusqu’au lendemain, quand il était dans une boutique, et qu’elle revit la tête blonde de cet asiatique plus que mignon à souhaits. Jusqu’alors, ils devinrent bons amis. Jusqu’à aujourd’hui chaque été, ils se revoyaient, au Japon, ou bien en Angleterre. Même une fois en Amérique, là où logeait le jeune mannequin.
Son succès devenait fou, et je ne vais pas vous cacher que être mannequin est un drôle de métier. Il faut bien coucher avec beaucoup de monde pour décrocher des contrats, les bien gros contrats. Ce qui lui manquait c’était Matsu avec son sourire de victoire sur les lèvres quand elle allait lui dire qu’il allait porter sa ou ceci. Car maintenant, il n’était pas dépendant d’une boîte, mais de lui-même. Il ne mit pas beaucoup de temps à engager un manager. Les contrats tombaient à flots, et Kai était célèbre. Il passait à la télévision, parfois à des émissions, il n’aimait pas trop cet effet médiatisé, mais il n’y avait pas un seul moment où il n’était pas reconnue quand il était en ville. Sa l’amusait, parfois l‘agaçait. Mais n’était-ce donc pas sa, la célébrité ? Les vacances d’été arrivèrent. Il devait donc revoir Soren … Mais une étrange de lettre lui parvint. Invité dans un hôtel prestigieux, il en avait entendue parler. Tout le monde en parlait dans on cercle d’amis. Il ne mentionna pas le fait qu’il avait été invité là-bas, mais y alla tout de même, un peu triste de ne pas revoir son ami. Au plus grand hasard, il n’imaginait même pas qu’il allait retrouvé ce blondinet, et pas que lui d’ailleurs … Takeshi, … Aussi. Mais cela reste entre nous bien entendu. Jamais je ne vous ai parlé de ceci, okay ? =) Bien. Sur ce, je vous laisse


Style Vestimentaire : J’aime pas faire sa, mon dieu. Je ne vois même pas pourquoi je devrais me décrire qwa Oo… Tu ne regardes pas mes photos dans les magazines ? Hein ? Non ? Et bah vas-y =D Oui ? Et bah alors ? Quel intérêt !?
Kai est grand pour un japonais, un mètre soixante-dix-huit, pour 68 kilogramme, qui entre nous, n’est vraiment pas énorme. Il n’est pas maigres ou anorexique, ni gras, et puis y a que du muscle =D Kia prends beaucoup soin de lui, après tout quoi de plus normal, il est payé pour son image. Son style vestimentaire, reste assez trash, passant par le visual kei, bien que les choses plus classiques et normales lui vont aussi.
Ses cheveux, aux naturels sont bruns, noir jais, mais ses cheveux connaissent ce qui sont les mèches et coloration. Court, longs, jamais symétrique, court d’un côté long de l’autre, des mèches plus ou moins longues ; mais qui d’une manière ou d’une autre fias ressortir sont magnifique regard. Des yeux gris, pur, comme le brouillard d’une nuit, avec le cercle de l’iris d’un noir profond. Des yeux magnifiques, déstabilisent même. Mais ils portent souvent des lentilles, car oui, monsieur à un problème de vue. Sans lunettes, ou sans lentilles, il voit bien hein XD Pas au point qu’il en voit pas à deux mètres. Bref…
Faire deux mètres d’une descrïption, alors qu’on sait tous qu’il est beau, à baver, à mourir, à lui sauter dessus, mais que faire !?
Son visage est beau, charmant, ses traits sont fins, les yeux bridés, une allure féminisé avec qui il aime en jouer. Ses mains, sont des mains par définition de pianistes.
Que dire, que dire ? Rien de plus, car sa ma gave. :gla : *BiM*

Autres : Est bisexuel ; 1 percing au labret, un à la lèvre, 6 en tout aux oreilles, un à l’arcade, et un au nombril ; qu’il mets ou enlève selon sa guise =D

Créatrice : Jenn
Distribution : Sous demande.



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